Pathologies : Personnes âgées - tous pays

En France comme au Québec, les déplacements à pied constituent une part importante de la mobilité quotidienne en milieu urbain dense, et plus particulièrement chez les personnes âgées. Longtemps délaissé au profit de l’automobile, ce mode de transport, non polluant et bénéfique à la santé, est aujourd’hui revalorisé dans les politiques urbaines.

En 2050, une personne sur quatre aura 65 ans ou plus. Le vieillissement de la population est associé avec une augmentation des usagers de la route âgés. Par conséquent, la sécurité routière changera aussi puisque le vieillissement rend les gens plus sensibles aux limitations fonctionnelles qui peuvent rendre la conduite d'une voiture plus difficile.

Plan quinquenal de promotion de la sécurité du conducteur âgé, initié en 2005 par le NHTSA (agence fédérale chargée de la sécurité routière) et ses différents partenaires.

La chute chez les personnes âgées étant liées notamment à la baisse des fonctions exécutives ainsi que de la performance; cette recherche a étudié le lien qui pouvait exister entre le risque de chute des personnes âgées et leur aptitude à la conduite (étude réalisée sur des simulateurs de conduite).

Cette étude examine les récents changements de la pyramide des âges des titulaires du permis de conduire dans 15 pays (Canada, Finlande, Allemagne, Grande-bretagne, Israel, Japon, Lettonie, Pays-bas, Norvège, Pologne, Corée du Sud, Espagne, Suède, Suisse, Etats-Unis). Les résultats indiquent deux modèles de changement : - dans le premier modèle, observé dans 8 pays, on remarque chez les détenteurs

Cette étude aborde la question du vieillissement au regard de la question de la conduite, notamment concernant les capacités cognitives, sensorielles et psychomotrices.

Cet article aborde la question de la conduite des personnes âgées, enclines à des comportements de démence, alors que la voiture reste l'un des seuls moyens de transport dans certaines régions d'Australie. Il est donc question dans ce texte de mettre en lumière les problématiques que cela entraine, et notamment la question de la mobilité versus celle de la sécurité.

Le principal apport de la présente thèse réside dans la constatation que si d’une part, certaines limitations neuropsychologiques sont associées à une réduction des habiletés de détection périphérique, ces mêmes limitations s’accompagnent aussi de mesures autorégulatrices qui peuvent contribuer à réduire le risque routier.